Géonumber : cache-tampon
Il était bien ce site. trop bien .
"Suite à la pression de certaines entreprises, ainsi qu'à des
raisons personnelles, nous sommes contraints d'arrêter la diffusion
des numéros non surtaxés. Cette décision a été
difficile à prendre mais l'investissement lié à son encadrement
juridique serait trop lourd, il est donc préférable à titre préventif de stopper la diffusion de ces numéros pour l'instant.
Dernière mise à jour le
11/11/07
100 000 signataires : le succès de cette pétition demandant au Président de la
République la suppression de la pratique des numéros surtaxés en France est
éclatant ! Car le refus
des Français de se laisser « détrousser », au profit d’une obscure minorité, de
surcroît au détriment des plus vulnérables, est évident. Sous la
pression de cette pétition, quelques avancées ont vu le jour. Mais c’est toute
la pratique qui doit être éradiquée, tel un mal contagieux ! Il n’y aucune
difficulté technique pour cette suppression, car les numéros géographiques
correspondants existent, comme Geonumbers l’a parfaitement démontré. Cette pratique,
qui s’apparente à une dérive, et qui pourrait en annoncer d’autres, si l’on
n’agit pas, ce sont des citoyens dans leur ensemble, sans esprit partisan, qui
veulent sa suppression immédiate et totale. Seul le
Président de la République, garant ultime de l’égalité et de la justice dans
notre pays, a le pouvoir de demander au législateur d’interdire cette pratique
des numéros surtaxés. Un rendez-vous
va être sollicité à la Présidence de la République afin de remettre cette
pétition et ses 100 000 signatures. A suivre..."
En clair, GEONUMBER n'est pas en odeur de sainteté. En revanche, on peut encore prier gratis ; aux aurores, m'apprêtant pour matines, je conversais avec Dieu dans le miroir -sans tain- de ma salle de bain, quand Sa Divinité me dire sans parler : "qu'as-tu besoin de téléphoner, femme de peu de foi ? " - Il est confondant Celui-là ... Inspirée alors par Sa divine facétie, j'imagine une solution : reprise en main des médias par Dieu et ses commerciaux trouffions serviteurs : chaque dimanche aux églises, tous tournés vers le temple de l'euro (portail ouest à chartres) nous psalmodieront en choeur et avec repons, nos demandes diverses , si possible en latin. Je pense immédiatement à mon bon maitre, bien sûr, mais comment donc, à vot bon coeur, non mais des fois
- allo, Dominus Fiscorum ? mandamus, je dirais même plus : exigionus diminutionem impositiones
- impossiblum
- comment ça impossiblum
- logicionis informaticum, cum ecclesiam cantationes, non parametratem sunt
- et tua soror ?
à vos Gaffiot sisters !